rivés de chaleur depuis quelques temps
     
espirons les premières tiédeurs de ses rayons.
     
nvité tu dois paraître, timide,
     
e sachant pas quel jour rayonner,
     
ouche, caresse les toitures de nos maisonnettes,
     
n mordillant au passage la cime de nos arbres,
     
aintenant !, oui, c'est maintenant que tu dois
     
arraître, nous chauffer, nous inonder de ta force
     
oleil radieux, encore un peu endormi.