e considère ma vie comme un cauchemar,
êve ténébreux, encensé par la mort,
ouvent hanté par les plus sales idées,
ue j’entends rire au fond de mes pensées;
u sais, sans toi mon existence entière,
e fuit sans me prévenir, ni rien laisser,
uitte ma raison et me donne des ulcères,
ncore une fois c’est l’insécurité !
ans déchiffrer le symbole onirique,
oi dans ma vie, demeure un grand symbole,
e ne suis pas le rêveur synthétique,
e voyant que le sexe, la drogue, l’alcool.
iens-tu à moi autant que moi à toi ?
lus tard, peut-être dans les flots de mes larmes,
force d’entendre, tu verras le vacarmee,
ien qu’à sentir mon cœur ouvert à froid.
e sais qu’un jour, j’ignore quand, mais je sais,
êve mis à part, que je verrai l’amour,
ouvent cherché et souvent refoulé,
ue j’avais tant pour toi depuis toujours,
u ignorais peut-être l’intensité,
e voyant comme déserteur réel,
uitte à tout perdre, ici je t’attendrai,
ncore sur terre et toujours dans le ciel.
ais je t’en prie, pardonne-moi si je pleure,
on âme est comme la chair et se déchire,
mour céleste, tu défusionnes mon cœur,
st-il possible d’oublier de souffrir ?
oujours est-il qu’à travers ma souffrance,
ans mes espoirs, je sentirai ton corps,
es douces lèvres sur mes mains qui s’avancent,
ains qui n’existent plus, car je suis mort !