A l'orée de tes yeux, une forêt de songes L'envie de pénétrer ce monde à découvrir Brûler les tendres feux du désir qui me ronge Au feu de tes baisers et quand tu vas t'ouvrir N'emporter dans le ciel qu'un nuage d'éponge Et mourir dans un cri que rien ne peut couvrir !