Attiré comme l'atome de métal par l'aimant
Ne serais-je qu'écume emportée par la vague,
Ne serais-je que plume emportée par le vent,
Est-ce là le tsunamour dans lequel je divague ?
Savourer cet instant de trouble inachevé,
Yrevenir ému et le revivre encore,
La magie de tes yeux les lignes de ton corps,
Vivaces en moi perdurent et je m'en vais rêver
Au moment où nos lèvres s'uniront dans la foudre
Inexorablement pour sceller nos destins,
Naturelle étincelle quand mon feu à tes poudres
Embrasera nos ciels de plaisirs opportuns.....