e destin nous surprend parfois sans crier gare u détour d'un chemin, au hasard d'un sourire n jour au bout d'un quai d'un port ou d'une gare etenu comme un temps qui ne voudrait finir t le printemps renaît pour un nouveau départ e serait-ce que pour rire, ne serait-ce que pour croire e vertige de toi qui me prend me chavire st doux comme un soleil qui embrase le soir!
a mer de tes yeux verts n'est qu'un pâle reflet u pampre de ta bouche, on boirait la Provence n regard et d'amour on se sent regonflé ayonnant de bonheur, de printemps en avance s-tu de ces princesses qui arpentent nos songes ue, quand la nuit venue, on s'endort éreinté herchant dans quelque rêve que le matin éponge perdu un amour que l'on veut s'inventer ?
e charme de Daphné, transformée en laurier toi te fut donné n honneur pour les premiers êve depuis le lycée t ton joli nom garde bien son secret otre couronne n'est plus qu'un papier 'est un autre parfum mais il est tout aussi désiré t toi tu vas fière d'être autant aimée