Mérite-je tes lèvres, mérite-je ton corps Irrigue-je ton ennui d'un champagne de fête Cours-je à te courtiser tout droit à la défaite Hâte-je le dénouement en insistant encore Eternue-je l'amour par ce désir palpable Libère-je au contraire tes pulsions entravées Initie-je des jeux que tu trouves dépravés Ne suis-je ange déchu toi démon adorable Et de quelle intention ton enfer est pavé ?