| Un acrostiche sur Nathalie :
Un autre acrostiche sur Nathalie : id douillée où je suis née ttentionée oute jolie irondelle dorable ibellule qui llumine mon coeur t prédit mon bonheur
Un autre acrostiche sur Nathalie : e m'en voudras tu pas après ces quelques lignes urais-je dû me taire sagement dans mon coin 'attendant, espérant de toi un jour un signe ardiment esquissé, déssiné avec soin ? urais-je dû plutôt, venir à toi plus vite, e dilemne était grand, il me fallait choisir : l n'est de mauvais pas que les pas qui hésitent t de ne savoir pas, il n'y a rien de pire !
aturellement gracieuse rborant un joli sourire elle une étoile fougueuse armonieuse à ravir dorable charmeuse es coeurs elle sait conquérir rrésistible enjôleuse n mon coeur je veux l'accueillir
Un autre acrostiche sur Nathalie : athalie est gentille ttachante elle sait nous charmer elle une étoile qui scintille abillée de lumière éthérée vec tant de douceur elle irradie 'amour et l'amitié nfiniment sage et posée lle est chérie, elle est aimée
Un autre acrostiche sur Nathalie : 'est-ce pas que tu es jolie ? vec tes magnifiques yeux bleus sages on sourire est comme un étoile qui luit armonieusement sur ton beau visage dorable petite soeur si chérie es doux moments que l'on partage lluminent agréablement ma vie t je suis fière d'être ta confidente et ton amie
Un autre acrostiche sur Nathalie : ouvelle belle petite sauvage imant aussi être sage e voilà et enfin armonie tendre du matin mour que tu es ibre tu te plais déale tu en ries clatante est ta vie
Un autre acrostiche sur Nathalie : e crois pas que je sois utre chose qu'un homme outes tes joies abillent mon automne vec au fond de mon coeur 'envie que tu y arrives ci est ton bonheur ternelle en moi que tu vives!!
Un autre acrostiche sur Nathalie : e crois pas que la vie rrive a te faire oublier out ce qui te fait envie abile tu ne veux pas te lier dorable petite indienne a liberté par dessous tout ci qu'elle t'appartienne t qu'elle t'apporte milles atouts
Un autre acrostiche sur Nathalie : e pourrais-je un jour au Dieu Râ qui me nargue rrimer là ma barque, mes claques, mes fantasmes ourner le dos au souffle de Pan qui tempête isser enfin le drap de mes mortes conquêtes. u lit creux de ma vie déformée de mille spasmes ivide et blafard, j’attends que l’on me tague ntense moment du silence qui se meurt t qui laisse entrevoir de l’espoir une lueur
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