Muse, douce musique qui envoûte ma vie.
Un passage, des notes volages à profusion.
Sons percutants à l’affût d’une faible ouïe.
Il est là ce mal, ce son fort étrange;
Ces divagations d’un bémol attristé
Ah! Mon Amour, j’entends tes notes blanches.
L’immanence de tes gestes, de ton amour divin.
Élévation de tes propos, la sagesse de tes chants.
Mains tendues, tonalité dans un accord parfait
Et l’amour devient un écrin sublime.
Neige... la pureté dans des gradins musicaux.
Tabouret de piano et me voilà pianiste!!!